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Sortie sur la Sauldre (Sologne)

11 et 12 octobre 2008

Par Pierre Photos D'autres photos et vidéos en téléchargement

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Mais où est donc l'auto du club?

Ça commence bien, elle est censée être rangée ? Ah oui, par Éric, le directeur de la base, qui l'a déplacée pour faire la place aux VIP (dont nous ne sommes pas) de la traversée de Paris en aviron, et elle n'est pas revenue.

On part finalement avec l'auto de Gilles pour tracter nos fiers destriers, et moins de 2 heures après on arrive à Salbris, on pose ses affaires au CRJS/CREPS (eh oui, on fait partie des grands sportifs). Nous mangeons et attendons une organisation... discrète.

Vers 14h, départ de Villeneuve-sur-Sauldre, à 15 km de là. Enfin, 15 km à vol d'oiseau.

La rivière est sympa, claire, un (petit) courant nous pousse, le paysage est nature à souhait, les couleurs de l'automne bien solognotes, et le soleil bien présent. Mais pas beaucoup d'eau, il faut donc bien “lire” la rivière ou... pousser pour se dégager des bancs de sable.

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On choisit : soit le sable, et on pousse ; soit sous les branches, là où il y a de l'eau, on baisse la tête : d'où l'utilité du casque.

Un arbre au milieu : les bons Samaritains de l'ASK aident à faire passer la cinquantaine de participants, et c'est reparti.

Bon, pour 15 km il faut deux à trois heures, alors on fait la pause avec 3 baigneurs : Gilles, Olivier et Christophe qui font péage au milieu de la rivière, le résultat financier est nul !

Ah, enfin un seuil : chic, on écoute bien les consignes de Christophe (un autre : le moniteur de l'ACBB), et on passe comme des chefs. Il y a juste quelqu'un qui parle encore d'une heure de trajet. Nooooon y décoooonne, on a déjà fait 3 heures !

Mais une heure plus tard, toujours pas de Salbris, des jeunes sur un pont nous ont dit que c'était loin ; c'est pour nous faire peur !

Dernier banc de sable : un ASKiste se gaufre dans 10 cm d'eau. Plus exactement, à l'endroit où ça passe de 10 cm à 1 m. Et il lâche sa pagaie. On ne livrera pas de nom, mais il roule ** en Rockit rouge.

Enfin de la civilisation (voie ferrée, nationale, autoroute), on y est ! Mais non, nous voilà de nouveau dans la forêt, on n'aurait pas loupé un bras de la rivière ? C'est tout en longueur, Salbris...

Olivier part devant en éclaireur, et, près d'une heure après, un cri : “C'EST LÀ !”. On arrive tous sans aide, mais Fanny promet qu'on ne l'y prendra plus, et Vincent déclare forfait pour dimanche : 5 heures 30 de navigation, et nous ne sommes pas les derniers !

Tiens, il n'y a plus d'organisation !!!!! Z'ont raison de se planquer ceux-là : " 'y avait au moins 25 km".

Le couscous du repas passe tout seul, mais il faut encore aller chercher les autos au départ, et l'organisation est absente, et le club de X... ne veut pas nous emmener, car il est déjà 21 heures (le président a le nom). On s'arrange finalement avec l'ACBB. Gilles se paume au retour, et doit appeler au téléphone les (déjà) endormis restés sur place, pour un radio-guidage.

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Dimanche, Emmanuel nous a rejoints, et on prend plein de coupe-faim : normalement 10 km seulement, mais, chat échaudé craint les bancs de sable...

On commence par une superbe glissière, on passe tous, on est presque tous secs (je n'ai pas donné de nom, hein, Jean-M ?) une fois en bas.

La rivière est moins vive, mais toujours tortueuse et joliment nature. Il y a même un drossage, ou comment (presque) se casser la figure dans 30 centimètres d'eau...

Un petit arrêt casse-croûte, et on arrive en moins de 2 heures. C'est tout ?

Déjeuner à la Ferté-Imbault, on a un château devant nous, et un superbe parc pour notre repas, le soleil est même revenu.

Retour sans soucis ni bouchons, et à 16h 30 tout est rangé. On a bien appris à lire la rivière.

Pierre

** Rouler, au sens de tourner autour de l'axe de roulis du bateau...
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Rallye de la Cure

27 et 28 septembre 2008

Par Gilles et Christophe  Photos

“Rallye” de la Cure : y'a bien des kayaks (vides), mais... où sont passés les ASKistes ?

Au départ : Christophe, Sylvain, Vincent D., Olivier, Léonard, Gilles.
Vendredi 26 septembre, RdV à 18h00 base nautique. Arrivés, restaurés, vers 22h30, au gîte du Breuil, désert.

Samedi 27 Septembre :

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Plein soleil, niveau d'eau haut (50 cm au Montal), descente prévue Montal → Ménéfrier, la Truite attendra.

Encadrement : Olivier ouvreur, Sylvain serre-file, et ils vont avoir du boulot !

La “reprise” est dure. Faudra t-il prévoir un échauffement musculaire, passé 30 ans ; ou une sortie Corbeil la semaine d'avant ?

Recette du cocktail Cure :
Prenez une légère crispation, au niveau articulaire (côté vétérans encadrés).
Ajoutez une giclée de courant costaud à 50°.
Secouez au shaker, on the rocks, et servez une tournée générale de bains glacés.

C'est parti :
Léonard, le cadet, entame fort avec une gamelle dans les premières minutes, pagaie coincée dans le rapide. 1er sauvetage de pagaie de Christophe. Au pont à la corde, Gilles, descendu photographier, se fait piquer son kayak par un filet de courant : seul Olivier, après un sprint sur la berge et un plongeon style Hulk, réussit à le stopper. Plus loin, la Duchesse donne le bain à qui veut le prendre (j'ai les noms) (le nom, en fait).

Le rapide des Ménéfrier :

Il fourbit ses armes : courant fort + vagues + slalom entre les rochers. Pour une fois, Sylvain est aux abonnés absents et dessale en amont. Côté Christophe aussi, “tout baigne” : cravate, puis 50 m accroché à son kayak, il se tirera d'affaire tout seul.

En aval, Olivier bien cravaté, mais... serein. Il a voulu aider Vincent, cravaté aussi, mais sa jupe étant mal fermée, le voilà à son tour en difficulté. Gilles, pensant qu'Olivier simule (ça ne serait pas son genre...), passe sans l'aider, et finit par s'arrêter sur la berge grâce aux cris de Léonard (légèrement cravaté). Il remonte en vitesse sur la berge, sort péniblement sa corde de sécu (bien attachée pour ne pas la perdre...) ; le temps d'ôter ses gants, et Olivier a dégagé son kayak tout seul.

Récit de Christophe, en exclusivité pour ASK-Webmag : “j'ai vu passer, sans avoir le temps de rien faire, le bateau de Vincent, puis Vincent ; après, le bateau d'Olivier, puis Olivier !

Trente secondes plus tard, cravate au même endroit d'un autre kayakiste inconnu. Envoi express, ce coup-là, de corde/mousqueton (puisque déjà prêts) et extraction musclée à 2 personnes, du kayak rempli d'eau thermale.

Après la bataille, on se retrouve avec 2 kayaks partis à vau-l'eau, c'est le cas de le dire. Heureusement, on récupère assez vite les 2 bateaux, échoués plus bas à 200 et 500 mètres...

Il manque juste Vincent, introuvable ! Personne ne se souvient de l'avoir vu hors de l'eau : la frousse. Il a couru jusqu'à l'arrivée, à la recherche de son bateau qu'il a manqué, sans avoir prévenu ses potes. Rogne de Sylvain, on ne pensait pas que c'était possible.

Fin d'après-midi, une deuxième descente (mais si, mais si) Montal → arrivée au Vieux Dun à 17h15. Cravate de Gilles sur méga rocher immergé, lors d'un stop. Négligeant le bisou-caillou salvateur. Glou-glou direct et le kayak se tire encore tout seul.

Récit de Gilles, en exclusivité pour ASK-Webmag ; “ font &)^#* ces rochers, avec le soleil dans l'œil, j'ai pas pu récupérer mon kayak ...

Pas de Ménéfrier, cette fois. Ne serait-ce que parce que le lâcher d'eau allait être stoppé, à 18h00 ! Léonard, l'intrépide, aurait bien voulu, mais... pas nous.

Dimanche 28 septembre :

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Plat de la Cure (en aval du Gouloux) - Truite - Montal - Vieux-Dun - Ménéfrier, la totale.

Léonard veut jouer les cadors sans combi, on l'en dissuade.

Le plat : (tout juste rouvert après 4 ans) champêtre, reposant, mais inconnu pour tout le monde. Olivier la joue total sérieux en sécu, fait attention aussi aux branches immergées.

La Truite : vautrage de Vincent, vagues ++. Christophe se croit tiré d'affaire, prend confiance, se plante bêtement. 300 m à barboter accroché au bateau. Magnifique sauvetage de Gilles (son 1er) qui doit s'y coller, la leash d'Olivier n'ayant pas de mousqueton... Après une “longue” marche arrière, attaché et à l'aveuglette, le radeau stoppe enfin au 3ème essai.

Seulement le kayak est en cravate, Christophe y est accroché en plein courant et groggy ; Gilles hors courant, dans son kayak est tiré dans le dos par la leash, incapable de tirer l'ensemble ; et envisage un moment d'avoir à larguer les amarres. Mais Sylvain et Léonard, de la berge, récupèrent la corde de sécu, et ramènent les 2 truites saumonnées sur le bord.

Du coup, nos reporters, occupés ici, manquent un peu de détails sur le sauvetage concomittant de Vincent par Olivier.

Café au Montal.

Trajet du rallye : Montal Vieux-Dun. Après la Truite, c'est quasiment de la rigolade, mais ça bouge bien quand même.

Le rallye inaugure la notion de rallye non chronométré. Personne au départ à 13h00, pas de sécu aux passages difficiles. En échange d'un dossard à porter, un beau tee-shirt et un café à l'arrivée. A 100 m de la fin, sur du total plat, Christophe se cravate sur l'unique caillou d'une rivière de 15 mètes de large : il est temps d'arrêter.

Vincent et Christophe, les deux plus cabossés (4 gamelles mahousses en deux jours à deux), laissent tomber, et assurent les navettes pendant que les autres font les Ménéfrier. Zéro gamelle cette fois, à côté de la Truite les Ménéfrier seraient presque tranquilles.

On remonte au Vieux-Dun à 17h15, pour la remise des prix de 17h00 : tout est déjà plié, de toute façon on n'a rien gagné. On se partage 4 tomates et 5 pommes à 6, parce qu'on-ne-dira-pas-qui a oublié la bouffe dans le frigo du gîte. Le peu de chance de la récupérer, ainsi que le niveau d'essence de la voiture (on-ne-dira-pas-qui l'a asséchée en faisant une virée nocturne la veille à Saulieu) dissuadent de retourner au gîte.

Retour Paris, mahousse bouchon, une heure et demie de perdue, grill Courtepaille en consolation.
Rentrés pour minuit !

Gilles et Christophe

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Voyage à Celle dans le cadre du jumelage avec Meudon

11 au 13 juillet 2008

Par Antoine et Jérôme Photos D'autres photos en téléchargement

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Nous partons à six de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle : Denis, Vincent, Jérôme, Philippe, Bertrand et Antoine. Tous, heureux de partir pour l'Allemagne.

Nous sommes arrivés dans la soirée à l'aéroport de Hambourg, où nous avons loué un véhicule pour rejoindre notre hôtel, puis nous sommes allés dîner de spécialités allemandes (qui ressemblent fortement à des pizzas, sans les serviettes ! ).

Après une courte nuit à l'hôtel, nous prenons la direction de Celle, pour arriver tôt au local du club de kayak, le «Paddel Klub» de Celle, avec lequel nous sommes jumelés.

Arrivés à Celle, nos homologues allemands nous réservent un accueil très généreux et très convivial, nous sommes reçus comme des rois ! Après s'être salués et avoir échangé avec plus ou moins de difficultés, surtout en anglais, nous sommes invités à passer à table pour un frugal petit déjeuner.

Ensuite nous avons embarqué dans des C9 (canoës 9 places). Pendant cette excursion, nous découvrons la manière de pagayer de Jérôme, et aussitôt Fritz, l'ex-président du club lui donne le surnom de «Madame Jérôme». Heu… hum… le cadre est magnifique, et les canoës très performants, grâce à la super équipe de pagayeurs encouragés par une ambiance très gaie à bord de notre bateau ! Fritz est vraiment adorable !, cf. photos.

Pour le déjeuner, nous sommes invités dans un restaurant, avec tous les participants au jumelage, pour un repas pantagruélique ! Offert par la municipalité. On ressent vraiment un accueil généreux et sympathique des gens qui semblent très ouverts et enthousiasmés de nous recevoir dans leur ville, très typée, de Celle.

Cette ville de 7500 habitants possède un patrimoine historique, qui mérite une visite guidée l'après-midi. Après une pause glace pour les uns, et une pause bière pour les autres, et aussi beaucoup de rigolades, on se retrouve tous à leur base, où Denis et Antoine ont pu s'essayer dans des kayaks free style du club, sur la rivière qui longe la propriété.

Le soir, on mange tous ensemble à l'air libre, servi par de charmantes Allemandes. Encore un somptueux repas, organisé sur leur base cette fois, où nous fêtons alors le deuxième anniversaire de Vincent (un anniversaire imaginaire, inventé par son équipe de joyeux comiques). Vincent, notre Président, fidèle à lui-même, profite habilement de ce canular pour remercier le maire de Celle et l'adjoint au maire de Meudon de cette organisation si accueillante, la classe quoi !...

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À la fin du repas, le champion du monde de course en ligne, «Adi» propose une initiation à Madame Jérôme et Antoine, même de nuit …!, il n'y a pas d'heure pour faire du kayak ! Après cela, nous sommes allés fêter ça au club. Là, «Madame Jérôme» nous fait montre de ses talents de danseur/euse, et cela finit par le concours du plus gros ventre, auquel Philippe participe face à d'autres Allemands. Après ceci, nous sommes allés nous coucher.

Après un échange de petits cadeaux de remerciement, et un petit déj encore copieux, nous avons dit au revoir à nos amis allemands, c'est le cœur gros que nous les avons quittés.

Nous avons visité le fameux château du 15ème siècle de Celle. Et repris la route pour nous diriger vers l'aéroport de Hambourg pour reprendre notre avion, après avoir déjeuné sur une terrasse où nous avons encore bien rigolé.

Je pense que chacun de nous gardera un très bon souvenir de cette sortie, et nous espérons faire un aussi bon accueil à nos amis allemands, lorsque nous nous reverrons : lors d'une nouvelle sortie jumelée déjà prévue avec eux, en août 2009 sur la Moselle ; puis, peut-être dans cinq ans, pour les 60 ans de jumelage entre les villes de Celle et de Meudon.

Danke schön à vous les amis ! Nous nous sommes échangé nos adresses respectives de sites Internet, voici la leur : http://www.paddelklub-celle.de.

Antoine et Monsieur Jérôme

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Sortie dans le Morbihan

28 & 29 juin 2008

Par Gilles Photos D'autres photos en téléchargement

20/20 à Pierre !

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Kénavo la Bretagne !

Trajet de 6 heures 15 en Berlingo + remorque (arrivée 21h00) pour certains, et de 4 heures 30 en Audi Q7 (arrivée 02h00 du mat).

Arrivée au sud du Morbihan, presqu'ile de Rhuys, pointe Kerners. Logés à 1 m du chemin de côte, à 100 m de la cale dans bungalow rétréci, mais fonctionnel avec terrasse et vue splendide sur le petit port. 2 tentes plantées en plus pour plus d'espace (planter plus pous s'espacer plus). Quasi personne (heureusement) dans le camping, hormis quelques retraités.

On loue 2 Shorelines en fibre Polyform rouge et blanc.
Pour compléter notre flottille :

7 kayaks mer pour 7 Askistes, tout semble parfait. Mais commence alors un jeu de chaises musicales insidieux, pour se disputer gentiment le pilotage des 3 merveilles océaniques inconnues : Catchiky et Shorelines fibre.

Samedi départ 11h00, avec la marée montante, pas de vagues, on se croirait sur un grand lac. Très vite l'odeur d'iode et les algues nous confirment qu'on n'est pas à la montagne. Direction les îles d'Ilur et Iluric. Heureusement, compas et carte marine — et surtout la connaissance de Pierre — nous permettent de ne pas nous égarer dans la moindre anse de côte. Il est difficile de distinguer une île de la côte elle même... On baptise les bateaux du CD, avant le repas et une mini sieste à l'abri du vent.

Puis on repart après avoir échangé nos montures, prendre un pot (liquide translucide), à Port-Miquel, sur l'Île aux Moines. Le temps est nuageux, voire crachoteux, mais on prend tous des couleurs sur les avant-bras. Retour dans le bon sens de la marée. Remontrances d'Aleksandra, qu'on n'a pas suffisamment attendue à la fin. Elle ne souhaite pas se contenter de la seule assistance de Marek en cas de problème.

Moralité, il faut rester groupés et se retenir de piquer un sprint.

Séance d'entraînement au paddle-float pour Philippe, plus on est grand, plus c'est dur de regagner son hiloire. En plus son doigt en charpie, sacrifié pour la réussite de la Fête des Étangs, ne facilite pas...

Séance d'esquimautages sur kayak de mer, réussie pour Denis. Lors d'une tentative qui s'éternise, après tapage sur la coque renversée, Gilles tente en vain d'aider Denis.
Explication : il tourne du côté inverse de celui souhaité par Denis.
Petite frayeur, sauf pour Denis qui patientait en refusant de sortir du kayak.

Séance d'initiation à l'esquimautage pour Marek, et inscription dans la foulée à des séances esquimautage piscine base nautique. Les maestros Denis et Pierre rappellent que le mieux, c'est encore de se rétablir sans avoir à esquimauter.

Barbecue d'enfer préparé par Pierre.
Puis sortie supplémentaire pour le coucher de soleil, sur kayak pour Philippe, Pierre, Gilles et Denis, le pied couleur !


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Dimanche, lever 8h00, après une nuit bruyante, due au rallye pédestre de 177 km parti vendredi de Rennes, le long du Golfe du Morbihan, qui passe sous notre nez, toute la nuit. Certains askistes, à demi fous ou victimes d'insolation, prétendent être intéressés pour l'année prochaine !

Départ croissanté 9h30 (dernier délai pour la marée), direction l'île néolithique de Gavrinis pour visite guidée du tumulus à 11h00.

La traversée du chenal principal est très impressionnante : des bateaux, des voiliers, dans les deux sens, du courant comme à Corbeil, des remous et enfin des vagues. Les remous c'est super : tu rames tout droit et d'un seul coup tu prends 45° au compas. Juste au moment où tu dois speeder, car un voilier a viré de bord (ou une navette à moteur a viré tout court), et t'arrive dessus.

En fonction du vent, et du sens du courant, les bateaux t'arrivent dessus plus ou moins vite, ça fout la trouille, n'est-ce pas Président ? On ne sait pas si on a été détecté, et tous ces bateaux vont beaucoup plus vite que nous... Aleksandra, en future pro, agite sa pagaie verticalement, moi j'ai plutôt tendance à ramer plus fort.

Il paraît que la vitesse maxi des courants marins dans le golfe est de 15 nœuds ! Le fait est qu'à certains endroits, on était limite de faire du sur-place.

Repas, baignade en plein soleil sur une plage abandonnée... Terminus à 15H00, c'est tôt mais on est bien crevés.

Audi Q7 : retour avec remorque 23h00, on retrouve Antoine, revenu radieux de sa sortie Vézère. Pierre et Vincent reviennent tranquillement lundi matin.

Un super-grand merci à Pierre, pour sa maestria à nous concocter de A à Z cette sortie mer.
C'était très agréable et sans aucune fausse note.
Chapeau.

Gilles

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